lundi 18 mai 2009

À quoi sert la police?


Attention les radars " travaillent " aussi en nocturne . . .

Voir un exemple sur le lien :

http://www.dailymotion.com/video/x8xj28_la-nuit-les-radars-cartonnent_news

Et les policiers sont ravis.

Ils n'ont pas encore pensé qu'il serait plus intelligent de mettre des ralentisseurs ou de bien se montrer si l'endroit est vraiment dangereux.

S'ils posent des radars, ils laissent les automobilistes mettre leur vie en péril. C'est presque punissable par la loi pour "non assistance à personne en danger".

Par contre s'il n'y a pas mise en péril de la vie des conducteurs, alors il est évident que les radars ne sont là que pour les piéger?

Les policiers prouvent - avec satisfaction - que les radars ne sont là que pour mettre des procès et pour ramasser de l'argent. Qu'on ne vienne pas nous faire croire que c'est la pose de radars qui a diminué le nombre de morts sur les routes. Une campagne d'information bien martelée est bien plus efficace dans la durée que "la crainte du gendarme". La Publicité a prouvé, depuis longtemps, qu'elle sait toucher le public.

Les policiers sont pourtant prévus - à ce que dit leur déontologie - pour prévenir les accidents, les drames, les vols, les meurtres...

Honte à ces gens, si fiers de "faire du chiffre".
Il faut par ailleurs savoir que ces fonctionnaires poseurs de radars "travaillent" en quelque sorte pour les intérêts d' Atos ou de la Sagem.
"Il n'y a pas que des malheureux dans l'affaire. A commencer par les deux groupes privés, Atos et Sagem, chargés respectivement du traitement automatisé des PV et de la maintenance de ces belles machines. Les millions qu'ils engrangent sont recouverts d'un voile pudique que même Hervé Mariton (député UMP) n'a pas pu lever. Sa visite au centre national de traitement des prunes, à Rennes, lui a laissé un goût amer. Il y a trouvé 226 agents privés pour 45 fonctionnaires. "Le tandem Atos-Sagem est ultra-dominant. C'est un cadre d'Atos qui a piloté ma visite... Quand même gênant" " précise le député au Canard Enchaîné (n°4620 du 13 mai 2009) .

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