lundi 17 décembre 2007

Enfantillages





N.S. veut prouver qu'il a du charme et qu'il plait.

Notre président ne sait pas se retenir; il veut être considéré comme un super actif - sans savoir que c'est une maladie -..
Il saute sur tout ce qui bouge et réagit au quart de tour sur tout sujet..
C'est un instinctif sans réflexion.

Il aime à nouveau les photographes et pose croyant avoir réussi un bon coup!
Il pense faire oublier la visite tellement dénigrée de Mouammad Khadafi.
Il pense faire l'admiration du petit peuple.

Aucune tenue.
Paraître est son mot favori.

Et qu'on ne vienne pas me raconter que "les français" aiment cette façon d'être!

Je ne veux plus que notre Disneyman dise qu'il représente "les français" et qu'il fait ce qu'ils lui ont demandé.
Il n'en représente qu'à peine un tiers, car les non votants existent. Et il a de moins en moins de soutien chaque jour!

Le n° 556 du 15 décembre 2007 de Marianne offre un florilège de "tout ce qu'on ose dire de lui... à l'étranger". Car "ça, vous ne le lirez pas en France". "Qu'est-ce qui, au fond retient nos médias?" Et ce journal a trouvé des phrases assassines:
- "Comment expliquer son cursus placé sous le signe de l'esbroufe et de la félonie?"
(The Guardian)
- "Le nouveau Napoléon aurait dû savoir retenir sa Joséphine pour conserver l'admiration du bon peuple." (The Daily Mail)
- "Avec lui, on n'est jamais très loin de la farce, mais personne ne peut lui reprocher d'être ennuyeux." (International Herald Tribune)
- La Republica doute que "cette explosion permanente de décisionnisme ... fasse longtemps illusion."
- "La méthode Sarko est facile à résumer: faire comme si quelque chose de dramatique s'était produit. Se présenter en sauveur et affirmer qu'on va tout régler. Peu importe si, à la fin, quand les micros et les camùéras disparaissent, le public s'aperçoit qu'on s'est moqué de lui. (Die Zeit) D'où le sobriquet de "Kraftmeier" ("Monsieur Muscles") repris à l'unisson par la presse d'outre-Rhin.
- Il serait naïf d'attendre de lui une quelconque cohérence." (Financial Times)
etc.

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